Comme beaucoup le suggèrent, peut-être qu'en inversant cet équilibre arithmétique des forces, en investissant un peu plus dans la coopération, on aurait peut-être aussi créé les conditions d'une consolidation civile, sociale et culturelle qui deviendraient alors aussi des atouts, la capacité de résister à de nouvelles implantations de la culture talibane et de cette nouvelle alliance souhaitée avec le terrorisme de Daesh. Nous souhaitons un débat dans lequel, outre les évaluations et les jugements, il existe également une capacité d'autocritique sur les choix précipités et irréalistes que nous avons faits ces dernières années, afin qu'ils puissent être revus et relus sans attendre l'éditorial de Famiglia Cristiana, sans attendre le mea culpa des anciens présidents et anciens chefs de gouvernement, mais en attendant, en tant que classe politique et dirigeante italienne, nous nous chargeons de comprendre combien de fois, où et comment nous avons commis des erreurs. Aujourd'hui, conformément à l'article 11 de la Constitution, nous nous préparons à poser un geste politique qui part de la nécessité de garantir la paix pour arriver à la gestion de la sécurité, en autorisant la couverture nécessaire des opérations déjà en cours par nos militaires à l'étranger, engagés à sauvegarder droits fondamentaux dans toutes les régions du monde avec une capacité opérationnelle et une humanité incontestées, cette humanité qui est capable, avant même les armes, de vaincre le fanatisme et le terrorisme sur le plan culturel.
Nous regardons donc favorablement le contenu de cette disposition qui, dans une situation de crise même aggravée, répond à la nécessité de donner une continuité aux actions entreprises pour le maintien de la paix au niveau international. La fermeté dans la lutte contre le terrorisme et dans la recherche de la stabilisation des théâtres de crise doit nous conduire à construire des synergies adéquates également avec le monde islamique, peut-être le plus touché par ce qu'on appelle le terrorisme islamique, qui est tout sauf islamique. On ne peut pas imaginer lutter contre le terrorisme islamique en continuant à vendre des armes à des pays qui à leur tour les envoient vers ces foyers du fondamentalisme subversif. Nous ne pouvons pas continuer à vendre des armes aux pays voisins, aux pays voisins, aux pays amis, opaquement amis de l’EI, comme cela s’est produit ces dernières années. Beaucoup de ces armes ont fini en Arabie Saoudite, en Turquie et aux Émirats. Ce sont les années où Derrida entre en contact avec les soi-disant « maîtres du soupçon » : Nietzsche, Freud et Marx, auxquels Derrida consacrera une lecture attentive et particulièrement intéressée. Les Français sont partis, les Anglais sont partis, real sociedad maillot les Espagnols sont partis et nous restons. On sait qu'il y a aussi le droit d'une nation blessée à puiser dans ses propres émotions, son devoir de réaction, mais on sait en même temps – les Français le savent, nous le savons tous – que ce ne seront pas les bombardements, cependant cette augmentation exponentielle, pour résoudre le problème.
La mission de l'ONU à Kaboul nous apprend que nous avons enregistré une augmentation presque exponentielle du nombre de morts et de blessés civils et une expansion des hectares de territoire afghan mis à la disposition de la production d'opium et du trafic international de drogue. Nous sommes convaincus que l'Italie peut et doit jouer un rôle important dans la promotion de la paix conformément à la Charte des Nations Unies, en travaillant à l'évolution de processus articulés et complexes visant à l'affirmation d'un ordre international fondé sur la sécurité des États et la création de les conditions d'une coexistence pacifique et d'un développement harmonieux de toutes les nations. Je crois que le meilleur augure pour une bonne discussion dans cette Chambre sur le "décret des missions" est venu ce matin, dans la salle où se sont réunies les Commissions étrangères du Sénat et de la Chambre, de la part de l'ambassadeur de France, qui nous a rappelé avec des mots d'une sobriété et d'une efficacité extraordinaires que les événements d'il y a deux jours ont mis à mal, avant même la démocratie, avant même nos droits, nos valeurs, la dignité humaine, la dignité de l'homme. Les incidents de 2001 à Gênes entre les deux groupes de supporters étaient célèbres et particulièrement sanglants. A 21h05, ce sera le tour des deux autres équipes italiennes, Milan à San Siro contre les Grecs de l'Aek Athènes (Sky Sport 1 HD et Sky Calcio 1 HD), et l'Atalanta à Reggio Emilia contre les Chypriotes de Limassol (Sky Sport 3 HD, Sky Sport Mix HD, real sociedad maillot Sky Calcio 2 HD et en clair sur TV8).
Une fois la première partie du championnat terminée, en attendant les célébrations du Nouvel An, le marché des transferts de football s'enchaîne à la Juventus. La relative tranquillité qui règne en Bourse ces dernières semaines a permis au plus grand nombre de suivre un marché bien plus agité : celui des transferts de footballeurs. Les bannières Working Class et Freak Brothers, ou encore les plus modernes Curva Nord et Curva Est de Terni ont souvent été aperçues dans les tribunes, notamment dans les Coupes. Alors peut-être, chers collègues de la Chambre, nous avons besoin d’un effort de cohérence et de vérité, ainsi que de rationalité, pour comprendre de quels outils nous disposons pour faire face à cette menace. Unité et cohérence. Nous avons imaginé que nous pourrions construire une consolidation démocratique en accompagnant ces nouvelles élections en Afghanistan et nous savons que ce gouvernement est considéré, de l'avis de tiers et donc pas de ce Parlement, parmi les plus corrompus et inefficaces qui existent. Nous avons demandé à plusieurs reprises, plusieurs groupes de ce Parlement, qu'un "unpacking" soit effectué, c'est-à-dire qu'il y ait la possibilité d'exprimer une évaluation du mérite mission par mission. Et nous voilà arrivés à notre décret-loi, Monsieur le Président, pour ce refinancement, que nous ne voterons pas. Le troisième point, le troisième élément de désaccord avec ce décret-loi, parmi ceux fondant notre désaccord, concerne l'Afghanistan.